GLORIA MARIS : AQUACULTURE D’EXCELLENCE ENTRE TERRE ET MER
18/11/2019 - 2 min de lecture
Rubrique : Tendances
TOUT UN MAG POUR VOUS
GLORIA MARIS : AQUACULTURE D’EXCELLENCE ENTRE TERRE ET MER
200 SALARIÉS, 45 MILLIONS DE CHIFFRE D’AFFAIRES, 80 % DES VENTES À L’EXPORT, SIX SITES DE PRODUCTION, 4000 TONNES DE POISSONS PRODUITS CHAQUE ANNÉE. EN VINGT-SIX ANS D’EXISTENCE, GLORIA MARIS, ENTREPRISE SPÉCIALISÉE EN AQUACULTURE HAUT DE GAMME ET DIRIGÉE PAR PHILIPPE RIERA SE DISTINGUE PAR SES ÉLEVAGES D’ESPÈCES D’EXCEPTION, TELLES LE TURBOT, LE MAIGRE, LA DAURADE ET LE BAR ET S’EST TAILLÉ UNE RÉPUTATION D’EXCELLENCE. MAIS DANS CE SECTEUR À LA CONCURRENCE FÉROCE, COMMENT L’ENTREPRISE TIRE-T-ELLE SON ÉPINGLE DU JEU ?
Des poissons à la pointe de l’innovation
Avec ses 200 salariés, Gloria Maris fait figure d’artisan face aux géants européens ou mondiaux. Conquérir de nouvelles parts de marché nécessite donc forcément pour l’entreprise de recourir à des stratégies innovantes. « Nous parvenons à gérer le stress de l’animal en connaissant son environnement, ses pathologies à l’avance, son rythme au fil des saisons », argumente Philippe Riera. Des solutions développées année après année et sur toute la chaîne de production, de l’éclosion des œufs en écloserie jusqu’à la livraison des poissons. Et pour améliorer toujours et encore ses process, le groupe est rentré dans une dynamique vertueuse. « Nous collaborons avec des centres de Recherche pour sélectionner de nouvelles espèces grâce à la génétique et nous réfléchissons à de nouvelles alternatives d’alimentation contrôlées telles les insectes ou les végétaux ».
Face à l’avenir, Philippe Riera reste confiant : « La France a un beau potentiel de ressources à exploiter. Nous souhaitons développer d’autres sites sur le territoire. A l’étranger, l’enjeu est de conquérir d’autres continents grâce à nos savoir-faire ». De beaux défis pour une aventure loin d’être terminée.