Ce mode de financement utilise essentiellement des plates-formes Internet pour mettre en relation directe les porteurs de projets et les investisseurs. Il peut prendre la forme de dons avec ou sans contrepartie liée au projet, de prêts rémunérés ou pas et de souscriptions au capital de sociétés non cotées (comme des actions ou des obligations)
Pour les porteurs de projets, la principale motivation est économique (financement potentiellement moins cher).
Du côté des épargnants, le crowdfunding permet de financer en direct tous types de projets (culturels, associatifs, entrepreneuriaux ou encore immobiliers) et de savoir ainsi à quoi sert leur argent.
Le prêt rémunéré et la prise de participation sont également une source d’épargne.
Avant toute décision de financer un projet, informez-vous sur la viabilité de celui-ci mais aussi sur la plate-forme qui recueille les fonds car ce n’est pas sans risque.
À ce titre, le gouvernement a créé un cadre réglementaire spécifique** pour encourager le développement de la finance participative, mais aussi pour protéger les particuliers en les informant sur les risques liés à des activités qui restent très incertaines.
* Source : financeparticipative.org
** Pour vous informer sur le cadre applicable au financement participatif, cliquer ici.
© Regards partagés – Mars 2015 - Mis à jour Octobre 2020
Article à caractère informatif et publicitaire.
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