DES INVESTISSEMENTS TOUJOURS PLUS VERTS
Avec un prévisionnel de 20 milliards d’euros investis sur 5 ans dans la transition énergétique, le gouvernement a fixé en 2017 une feuille de route fortement teintée de vert.
Si l’État prend sa part dans le financement de ce chantier très ambitieux, les entreprises françaises sont également au rendez-vous : elles y ont consacré près 9,8 milliards d’euros, soit 31 % du total investi en 2016*. La majorité de ces investissements concernait la production d’énergie centralisée, notamment la production électrique renouvelable.
*Panorama des financements climat en France, I4CE, 2017
UNE PRISE DE CONSCIENCE LARGEMENT PARTAGÉE PAR LES ENTREPRISES
L’augmentation des températures à la surface du globe va avoir des conséquences qui sont désormais connues sur l’activité humaine. Plus concrètement, pour les entreprises, c’est le risque d’une perte de valeur généralisée liée à la baisse des revenus et la dépréciation des actifs.
Une perspective que nombre d’acteurs ont déjà anticipée, en réorientant une bonne part de leurs investissements vers la transition énergétique.
Réalisation de diagnostics de consommation, mise en place de mesures d’économie d’énergie, implication des salariés par le financement des moyens de transports « propres » : les solutions développées par les entreprises sont nombreuses pour concilier le mieux-disant écologique et la réduction des factures.
DES AIDES POUR FINANCER LA TRANSITION ENERGÉTIQUE DES ENTREPRISES
Les entreprises qui s’impliquent dans la transition énergétique peuvent obtenir des aides et des facilités de prêt pour financer des projets.
- Ainsi, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) s’appuie sur le Fonds chaleur, le Fonds économie circulaire ou encore le Programme d’investissement d’avenir (PIA) pour soutenir l’innovation et l’investissement des entreprises.
- De son côté, Bpifrance, filiale de la Caisse des dépôts, a lancé un fonds d’investissement doté de 100 millions d’euros, dédié aux PME et petites Entreprises de taille intermédiaires (ETI), avec des enveloppes allant de 500.000 à 6 millions d’euros selon les dossiers.
© Uni-médias - Janvier 2019
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