Parmi eux figure le Norvégien Yara, numéro un mondial de la fabrication et de la commercialisation d’engrais minéraux azotés, affirmant avoir réduit ses capacités de production des deux tiers depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine. Le prix du gaz pesant pour près de 90% dans les coûts de production des engrais azotés, la production d’ammoniac, issu de la combinaison du méthane du gaz et de l’azote de l’air, n’est plus rentable selon les fabricants. Yara, qui exploite trois usines en France, estime que des ruptures d’approvisionnements ne sont pas totalement exclues.
© Raphaël Lecocq – Uni-médias – Octobre 2022
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