Le projet était porté par de nombreuses structures dont l’Association française de pastoralisme, la Confédération nationale de l’élevage, les associations de massifs, les Chambres d’agriculture ou encore la Fédération des parcs naturels régionaux de France. Cette reconnaissance s’est opérée sur la base des pratiques coutumières de gestion collective des territoires pastoraux, des savoir-faire liés à l’artisanat et à l’élaboration de produits alimentaires, et enfin, des pratiques sociales, rituels et événements festifs en temps de transhumance. Prochaine étape : décrocher l’inscription au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco.
© Raphaël Lecocq – Uni-Médias – Septembre 2020
Article à caractère informatif et publicitaire.