Depuis 2014, tout salarié peut donner anonymement des jours de repos à un collègue salarié dont un enfant est atteint d’une maladie ou d’une perte d’autonomie grave. La loi n° 2018-84 du 13 février 2018 a étendu ce dispositif. Désormais, le proche aidé peut être : conjoint, concubin, pacsé, ascendant, descendant, frère, sœur ou autre collatéral jusqu’au 4ème degré de l’aidant ou de son conjoint, concubin ou pacsé.
Il peut aussi s’agir d’une personne sans lien de parenté ni d’alliance “à qui il vient en aide de manière régulière et fréquente, à titre non professionnel, pour accomplir tout ou partie des actes ou des activités de la vie quotidienne”.
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© Magazine Regards partagés Crédit Agricole Banque Privée - agencedps.com - décembre 2018
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