Investir responsable en bourse : accélérer la décarbonation, protéger les ressources naturelles et améliorer le bien-être des populations

17/11/2025 - 3 min de lecture

Rubrique : Epargne

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Investir responsable en bourse : accélérer la décarbonation, protéger les ressources naturelles et améliorer le bien-être des populations

L’investissement responsable permet de mettre la finance au service de la planète et de la société. Certains fonds sont ainsi dédiés aux grands enjeux du monde contemporain. Découvrez quelles sont les principales thématiques dans lesquelles investir.

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Bourse et investissement responsable : l’essentiel en 150 mots

Les mégatendances sont des changements majeurs transformant l'économie et nos sociétés sur le long terme, permettant un investissement thématique responsable dans plusieurs secteurs clés :

Santé et bien-être : face au vieillissement de la population, investissements dans l'immobilier de santé (EHPAD, cliniques) et la silver économie (services aux seniors)
Accès à l'eau : ressource vitale dont la demande augmente deux fois plus vite que la population, nécessitant d'importants investissements dans les infrastructures et technologies
Transition énergétique : développement des greentechs dans 4 domaines : efficacité énergétique, technologies propres, gestion eau/déchets, agriculture durable
Blue Economy : utilisation durable des ressources océaniques (pêche responsable, énergies marines, lutte contre pollution)
Immobilier durable : décarbonation du secteur sur tout son cycle de vie (construction, exploitation, rénovation, déconstruction)
Alimentation : garantir la sécurité alimentaire en préservant les ressources naturelles

Des fonds spécialisés labellisés ISR permettent aux particuliers d'investir dans ces secteurs d'avenir.

Pour plus de détails ou compléments, lisez l’article complet !

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Identifier les grandes tendances d’investissement responsable en bourse

Investir efficacement sur le long terme nécessite d’identifier les changements majeurs que le monde connaîtra dans les prochaines décennies. Quelles sont les principales mutations, encore appelées mégatendances, qui vont transformer l’économie, nos sociétés et nos modes de vie ?

Elles sont souvent classées selon trois piliers fondamentaux de l’économie, les « 3P » :

  • Planète : changement climatique, préservation des ressources naturelles, décarbonation des activités humaines ;
  • Populations : évolutions démographiques, urbanisation, nouveaux comportements ;
  • Progrès : comment les innovations technologiques restructurent l’économie et le fonctionnement de la société.
Les mégatendances

Certains fonds d’investissements thématiques se spécialisent aujourd’hui dans ce type de placements pour permettre à chacun de contribuer à la construction d’un avenir meilleur tout en profitant de ces nouvelles opportunités de croissance plus sobres en carbone ou plus équitables. Financer les entreprises qui œuvrent pour améliorer demain, soutenir les projets innovants qui répondent aux défis environnementaux ou sociaux actuels sont autant d’opportunités de devenir soi-même un acteur du changement.

Investir responsable en bourse : pour préserver la planète

Agir en faveur de la décarbonation et de la préservation des ressources naturelles

La croissance démographique, l’urbanisation, l’augmentation du niveau de vie et la mondialisation sont responsables d’une production effrénée de gaz à effet de serre, source de dérèglement climatique et de catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes et violentes. La transition vers des énergies bas‑carbone est donc nécessaire pour limiter le réchauffement global et respecter les objectifs des Accords de Paris de 2015. Elle s’inscrit dans une dynamique mondiale de décarbonation et de protection des ressources naturelles.

Les « greentechs »

Portées par une prise de conscience croissante en faveur de l’environnement, les technologies vertes - aussi appelées greentechs - ont pour principe de développer ou d’utiliser des technologies qui ont un impact positif sur l’environnement :

  • diminution des émissions de gaz à effet de serre,
  • réduction de la pollution de l’eau, de l’air et du sol,
  • ou encore préservation des matières premières et des ressources naturelles.

Loin de se limiter à la construction d’éoliennes ou de panneaux solaires, la « greentech » est constituée de nombreuses PME et grandes entreprises innovantes, qui vont créer, perfectionner et mettre en œuvre les solutions répondant aux évolutions dont nous avons besoin. Leur champ d’action va des « smart cities » (villes intelligentes permettant une meilleure gestion des ressources) à la transition dite « verte » dans l’industrie, en passant par la construction immobilière durable ou le recyclage des déchets.

On y trouve également les infrastructures renouvelables (dites infrastructures « vertes ») permettant de restaurer ou d’améliorer les écosystèmes naturels, tout en fournissant des services essentiels comme les parcs urbains, les toits végétalisés, les jardins pluviaux, les systèmes de gestion des eaux pluviales, etc. Ces infrastructures peuvent contribuer à la conservation de la biodiversité, à la réduction des îlots de chaleur urbains, à l’amélioration de la qualité de l’air et de l’eau, et à la création d’espaces de loisirs pour les communautés.

Les 4 grands domaines de la greentech

1. L’efficacité énergétique

Ce sont les solutions qui réduisent la consommation d’énergies - notamment fossiles :

  • Distribution électrique, éclairage (ex : fabrication de LED ou d’éclairages intelligents) ;
  • Matériaux de construction (ex : matériaux d’isolation durables, recyclés, recyclables, peu chargés en polluants) ;
  • Transport efficient (ex : voiture électriques, transports collectifs, batteries, etc.) ;
  • Développeurs immobiliers (ex : construction immobilière respectant les normes les plus strictes en matière d’isolation).

2. Les technologies propres et les services favorisant les énergies alternatives

Ce sont les technologies permettant d’exploiter des sources d’énergie autres que fossiles (éolien, solaire, hydro-énergie, etc.) :

  • Services environnementaux (ex : ingénierie, capture de CO2, mesure de la pollution, etc.) ;
  • Technologies et services liés aux énergies alternatives (ex : conception, production, stockage et distribution d’énergie).

3. La gestion de l’eau et des déchets

L’eau douce, ressource vitale essentielle, se raréfie alors que la demande mondiale explose. Le secteur de l’eau nécessite donc d’importants investissements pour construire, entretenir et réparer les réseaux de traitement et de distribution, ou encore développer les nouvelles technologies permettant de gérer la pénurie (irrigation de précision, détection des fuites, désalinisation, etc.). Ces innovations contribuent également à la réduction de l’empreinte carbone et à la préservation des ressources naturelles en évitant le gaspillage.

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Les déchets : l’augmentation constante des déchets liée aux nouveaux modes de vie rend nécessaire de développer les techniques de collecte, de traitement et de recyclage qui permettent de réduire les nuisances et de préserver un environnement sain.

4. L’agriculture durable

Les entreprises de ce secteur produisent des produits agricoles et forestiers dans le respect des certifications environnementales pour répondre aux problématiques de biodiversité, pollution, dégradation des sols, gestion de l’utilisation de l’eau.

Investir dans l’immobilier durable

Le bâtiment est un secteur-clé pour lutter contre le réchauffement climatique : il représente à lui seul 43% de la consommation énergétique en France et près d’un quart des émissions nationales de CO2 (1).

L’enjeu de sa décarbonation est donc central pour atteindre les objectifs climatiques et réduire la pression sur les ressources naturelles utilisées dans la construction.

Aujourd’hui, plus que 4 milliards d’habitants vivent en ville. D’ici 2050, ce chiffre devrait doubler (2). Il est donc essentiel d’arriver à bâtir des villes fonctionnelles et durables, respectueuses de l’environnement comme des personnes.

(1) Source : ministère de la Transition écologique
(2) Source : Banque mondiale

L’immobilier, une activité à décarboner sur l’ensemble de son cycle de vie

L’enjeu principal consiste à réduire son impact sur l’environnement, ce qui dépasse la simple sobriété énergétique des bâtiments :

  • Construction des bâtiments : la fabrication de béton et de ciment consomme des ressources naturelles (comme le sable) et émet des gaz à effet de serre (GES). La tendance est à décarboner les matériaux et à encourager le recyclage.
  • Exploitation : qu’ils soient des logements ou des bureaux, les bâtiments émettent aussi des GES, principalement du fait de leurs consommations énergétiques (chauffage, climatisation, lumières, équipements informatiques…). Leur bonne isolation est donc primordiale pour garantir une « performance énergétique » satisfaisante.
  • Rénovation : le taux de renouvellement du parc immobilier étant de 1% par an, en France (3), le défi majeur est de rénover le parc existant pour améliorer sa performance ESG (Environnement, Social et Gouvernance), notamment en faisant la chasse aux « passoires énergétiques ».
  • Déconstruction : réutilisation des matériaux plutôt qu’une démolition pure et simple des bâtiments pour réduire la consommation de ressources naturelles et à renforcer la décarbonation de l’existant.

(3) Source : étude du CNAM « Rénover le parc immobilier pour réduire les émissions de CO2 de la France »

L’immobilier durable se caractérise par :

  • une sobriété en énergie : déploiement de la production et de l’utilisation des énergies vertes, meilleure autonomie des bâtiments ;
  • une faible empreinte carbone ;
  • une faible utilisation des ressources primaires au cours du cycle de vie ;
  • une meilleure connexion au territoire ;
  • une lutte contre l’obsolescence des bâtiments et l’anticipation des mutations possibles comme la déconstruction ;
  • une meilleure accessibilité des bâtiments ;
  • une prise en compte de la santé et du confort de ses usagers.

Les fonds immobiliers pour investir dans l’immobilier plus simplement

Gérés par des sociétés de gestion agréées par l’AMF (Autorité des Marchés Financiers), les fonds immobiliers sont un levier de financement incontournable pour répondre aux besoins en immobilier des personnes et des entreprises.

Ils permettent de collecter des capitaux auprès d’investisseurs (institutionnels ou particuliers) et les investissent dans des actifs immobiliers, contribuant ainsi à l’attractivité économique des territoires grâce à l’accessibilité des bâtiments, à la proximité avec les transports, les commodités, etc.

Se repérer grâce au label ISR immobilier

Dans un contexte de durcissement de la réglementation européenne et face à des publics de plus en plus engagés sur les sujets environnementaux et sociétaux (locataires, propriétaires ou investisseurs), le Ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance a créé le Label ISR Immobilier pour distinguer les fonds immobiliers les plus performants en matière de critères ESG (Environnement, Social et Gouvernance) ou ceux qui contribuent à améliorer cette performance dans le temps.

 

Découvrez aussi : La finance responsable : définition, critères et placements

 

Des indicateurs d’impact obligatoires

Les sociétés de gestion des fonds labellisés doivent faire face à des objectifs précis, analyser leurs résultats et en rendre compte en toute transparence.

Elles ont obligation de publier 8 indicateurs pour chaque placement immobilier labélisé :

  • Environnement : « énergie » et « émissions de gaz à effet de serre » ;
  • Social : « mobilité » ou « santé et confort des occupants » ;
  • Gouvernance : « gestion de la chaîne de gouvernance » ;
  • 4 autres critères concernant les piliers ESG doivent également être reportés, mais ils sont laissés au libre choix de la société de gestion afin de disposer des indicateurs les plus pertinents en fonction du type d’actifs détenus.

Investir dans l’alimentation

Sous l’effet de la croissance démographique, l’alimentation est devenue un enjeu majeur : comment nourrir une population toujours plus importante tout en préservant les ressources naturelles, limitant les émissions de carbone et en garantissant la sécurité alimentaire ?

La consommation alimentaire est aujourd’hui directement influencée par l’accélération démographique, le développement économique mondial (notamment l’augmentation du niveau de vie dans les pays émergents) et l’urbanisation des populations.

Or les contraintes en eau et en terres arables et les problématiques liées à l’environnement (pesticides, épuisement des sols, etc.) vont nécessiter des investissements importants pour financer les évolutions nécessaires.

La chaîne alimentaire, qui va de la production à la consommation, en passant par la transformation, la logistique, la distribution et les contrôles de sécurité, offre des opportunités d’investissement intéressantes comme :

  • Les nouvelles technologies permettant d’optimiser l'utilisation de l'eau, des engrais et des pesticides tout en augmentant les rendements ;
  • Les innovations en biotechnologie, en intelligence artificielle et en agriculture de précision pour réduire le gaspillage, améliorer l’efficacité des ressources et favoriser les pratiques durables ;
  • La diversification des sources de protéines notamment végétales pour réduire l’impact environnemental des protéines animales ;
  • La demande pour des produits liés à la santé et au bien-être, comme le bio.

C’est ainsi tout un secteur qui s’ouvre aujourd’hui à l’investissement responsable, avec des profils d’entreprise très variés.

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Investir dans la protection des océans

Blue Economy : définition

La Banque mondiale définit la Blue Economy comme « l'utilisation durable des ressources océaniques pour la croissance économique, l'amélioration des moyens de subsistance et l'emploi, tout en préservant la santé de l'écosystème océanique ».

Cela englobe :

  • une meilleure gestion des pêches et l’aquaculture durable,
  • la protection des habitats marins essentiels,
  • les énergies marines renouvelables (éolien offshore, solaire flottant, production d’hydrogène en mer),
  • les activités portuaires,
  • la lutte contre la pollution plastique,
  • les technologies de dessalement,
  • les industries de défense, de sécurité et de surveillance maritimes,
  • la recherche et les infrastructures (câbles sous-marins, robotique),
  • la promotion de l’écotourisme côtier,
  • l’utilisation des algues sur le plan agricole, médical ou de réhabilitation des sols par exemple, etc.

Investir responsable en bourse : pour une société plus humaine

Réduire les inégalités sociales, favoriser l’inclusion, l’accès aux soins ou à l’emploi, prendre soin des ainés ou des personnes en situation de précarité sont autant de défis qu’il est indispensable de relever pour construire un avenir durable et équitable. Différentes thématiques sont d’ores et déjà accessibles.

Investir dans les entreprises de santé et de bien-être social

La démographie mondiale connait des évolutions rapides, avec un vieillissement marqué dans les pays développés et une population jeune importante dans les pays émergents. Ceci a pour conséquence de générer des besoins accrus dans certains domaines et de modifier les priorités des politiques à mettre en place notamment en matière de retraite, de santé, de prévention ou encore d’offres de services. L’ensemble de ces évolutions nécessite d’importants besoins de financements.

L’immobilier de santé

Les progrès de la médecine et de la technologie ont indéniablement amélioré la durée et la qualité de notre vie, avec pour corollaire un vieillissement important de la population.

Une tendance démographique qui génère mécaniquement des demandes croissantes tant dans le secteur des soins, notamment avec le développement de pathologies liées à la vieillesse ou de maladies chroniques telles qu’Alzheimer ou Parkinson, que dans celui d’infrastructures dédiées pour répondre aux besoins des personnes âgées ou prendre en charge les personnes en perte d’autonomie (Ehpad, maisons médicales, hôpitaux, cliniques, laboratoires, etc.).

L’immobilier de santé, dont les manques ont été mis en évidence lors de la crise sanitaire du Covid, n’a d’autres choix que de repenser son modèle actuel. Cependant, les gouvernements ne seront pas en mesure de financer seuls l’augmentation des coûts galopants associés aux soins de santé. Les capitaux privés deviennent donc nécessaires pour réussir à mettre en place les infrastructures nécessaires.

La silver économie ou économie des seniors

La silver économie, dont le nom évoque la couleur argentée des cheveux de nos aînés, couvre l’ensemble des activités économiques et industrielles en faveur des séniors (60 ans et plus).

Son objectif est de leur permettre d’améliorer leur confort de vie, de leur assurer une autonomie la plus longue possible, ou encore d’agrémenter leur vie sociale.

La silver économie englobe de nombreux secteurs :

  • la santé avec les soins à domicile, la médecine à distance, les objets de santé connectés ;
  • la sécurité et l'autonomie dont la téléassistance ou la télésurveillance ;
  • l'habitat avec des logements spécifiquement adaptés ;
  • les services à la personne dont les aide-ménagères ;
  • les loisirs : tourisme, sport, activités culturelles ;
  • la communication : téléphones mobiles, tablettes, Internet ;
  • les transports avec les aides à la mobilité, des transports adaptés, etc.

Le développement de cette économie des séniors favorise de nouvelles créations d’entreprises et d’emplois et offre aux entreprises déjà existantes de nouvelles perspectives d’affaires.

Investir dans les entreprises qui favorisent la justice sociale

La justice sociale est un enjeu majeur pour créer les bases d’un avenir durable et équitable.

Les entreprises peuvent l’exercer de différentes façons :

  • En pratiquant la diversité et l’inclusion pour favoriser l’accès à l’emploi de tous ;
  • En offrant des pratiques de travail éthiques et équitables ;
  • En mettant en place des programmes de formation facilitant l’accès à l’emploi et à la promotion ;
  • En proposant des services financiers et d’assurances aux personnes isolées et à faibles revenus ;
  • En s'approvisionnant auprès de fournisseurs qui respectent les normes sociales et environnementales ;
  • En proposant des technologies et des appareils d’assistance qui permettent à leurs utilisateurs de maintenir une vie sociale.

Et ceci n’est pas une liste exhaustive.

En agissant ainsi, les entreprises contribuent non seulement à améliorer la vie en société, mais elles améliorent leur image publique, bénéficient d’une plus grande fidélité de leurs clients et au bout du compte d’une meilleure performance financière.

Investir responsable en bourse : pour accompagner le progrès

Le progrès sert à améliorer les conditions de vie ou les techniques de production et doit apporter une réponse positive aux enjeux de la société.

Depuis plusieurs décennies, la digitalisation et les innovations technologiques se sont développées de façon exponentielle et transforment en profondeur les modèles économiques et les usages. Elles permettent entre autres de réaliser des gains de productivité, de créer de nouveaux modèles de business grâce aux plateformes et à l’ultra personnalisation des services, d’améliorer les soins grâce à la télémédecine, aux nanotechnologies, aux dispositifs connectés ou au diagnostic assisté par IA, sans oublier l’optimisation des réseaux énergétiques avec les réseaux intelligents ou le stockage.

Ces innovations sont essentielles et nécessitent de gros investissements qui constituent de nombreuses opportunités de placement. Mais avant d’investir, il conviendra de bien analyser la proposition de valeur par rapport à un univers complexe et très évolutif ainsi que le respect des valeurs durables et éthique du projet.

 

À lire également : Les stratégies d’investissement responsable en bourse
 

© Crédit Agricole S.A. – Dernière mise à jour Novembre 2025

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