APPUYEZ-VOUS SUR DES SIMULATIONS DE RENDEMENT IMMOBILIERS RÉALISTES
Au moment de réaliser des estimations de rendement dans le domaine de l’immobilier, certains interlocuteurs auraient tendance à minorer vos charges et à majorer vos recettes. Résultat, un investissement, a priori séduisant sur le papier, peut se révéler décevant en réalité.
Pour vous engager en toute connaissance de cause, n’hésitez pas à solliciter votre conseiller bancaire. Faites procéder à plusieurs calculs auprès d’organismes distincts. L’agence d’information pour le logement la plus proche de chez vous (coordonnées sur anil.org) peut aussi vous aider dans cette démarche.
PRÉVOYEZ DES GARDE-FOUS
Logement inoccupé, gros travaux votés dans la copropriété, impayés de loyers, dégradations… : la vie d’un propriétaire bailleur peut connaître de nombreux aléas. Mieux vaut le savoir avant, et s’y préparer. Comment ? En diversifiant vos placements et en conservant toujours une épargne de précaution disponible.
Mais aussi en souscrivant les assurances conçues pour vous aider à faire face aux coups durs si vous financez votre opération à crédit : décès, invalidité, incapacité, perte d’emploi… Sans oublier l’incontournable assurance « loyers impayés ».
VARIEZ LES EMPLACEMENTS ET LE RECOURS AUX AVANTAGES FISCAUX
Comme pour tout placement, la diversification ne peut que faire du bien à votre patrimoine immobilier. Ouvrez-le notamment à différentes zones géographiques en France : à Paris comme en province, voire en outre-mer (avec pour cette zone la difficulté de se rendre sur place pour suivre son bien et la difficulté à revendre).
L’idée : profiter de secteurs plus attractifs et rentables ou à la dynamique émergente ; ainsi que de dispositifs offrant des avantages fiscaux locaux spécifiques : le Pinel en zones dites « tendues » ou le Girardin immobilier en Corse et dans les DROM-COM.
MAXIMISEZ L’EFFET DE LEVIER DU CRÉDIT IMMOBILIER
Contrairement à l’épargne financière qui se construit petit à petit en mettant de côté, euro après euro, une partie de vos revenus, le recours au crédit immo vous permet, sans attendre de disposer du cash suffisant, d’investir de l’argent que vous ne possédez pas encore.
Ainsi, vous pouvez vous constituer un patrimoine immobilier même avec un faible apport personnel. Mieux, une partie de vos remboursements est couverte par vos loyers et vos réductions d’impôts, si vous optez pour un dispositif offrant un avantage fiscal.
Un atout majeur en période de taux bas, à condition de vous montrer ultra sélectif dans le choix des biens, des emplacements et des gestionnaires.
Sur la même thématique, Investissement immobilier locatif : comment bien financer votre achat ?
PENSEZ À LA TRANSMISSION DE VOTRE PATRIMOINE IMMOBILIER
L’immobilier entre en moyenne pour 60% dans la composition du patrimoine de la très grande majorité des Français (source Insee*). Un plébiscite qui tient notamment à leur volonté de transmettre un capital à leurs proches.
Vous pouvez notamment anticiper cette question dès l’achat, en optant par exemple pour une acquisition via une société civile immobilière (SCI).
Ensuite, passé 60 ans et plus, vous pourrez également commencer à réaliser des donations en pleine propriété ou en démembrement afin de conserver l’usufruit du bien. L’intérêt de cette dernière option : conserver le droit d’occuper le logement ou de le louer afin d’en percevoir les revenus.
OPTIMISEZ LA FISCALITÉ DE VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER
De nombreux dispositifs d’investissement locatif ouvrent droit à une réduction d’impôt. La loi Pinel dans le neuf, le statut de loueur en meublé professionnel (LMP) ou non professionnel (LMNP) ou encore la loi Malraux ou le Girardin outre-mer.
La réglementation évoluant en permanence, parlez-en à votre conseiller bancaire. Il existe certainement un régime correspondant à votre situation personnelle.
*source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/6437977
© Uni-Médias – Dernière mise à jour juillet 2023
Article à caractère informatif et publicitaire.
Les informations présentes dans cet article sont données à titre purement indicatif et n’engagent pas la responsabilité du Crédit Agricole ; elles n’ont en aucun cas vocation à se substituer aux connaissances et compétences du lecteur. Il est vivement recommandé de solliciter les conseils d’un professionnel.
Certains produits et services mentionnés dans cet article peuvent être commercialisés par le Crédit Agricole : renseignez-vous sur leur disponibilité dans votre Caisse régionale. La souscription à ces produits et services peut être soumise à conditions ou à la réglementation en vigueur, ainsi qu’à l’étude et à l’acceptation de votre dossier par votre Caisse régionale. Accédez au détail de ces produits et services en cliquant sur les liens hypertexte prévus à cet effet dans la présente page Internet.