Tout savoir sur l’obligation en bourse : fonctionnement, types, investissement

17/11/2025 - 3 min de lecture

Rubrique : Epargne

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Tout savoir sur l’obligation en bourse : fonctionnement, types, investissement

Les obligations sont généralement moins bien connues du public que les actions. Elles représentent cependant une opportunité précieuse pour diversifier votre portefeuille et générer des revenus complémentaires réguliers. Il est donc essentiel de bien les comprendre avant de vous décider à en acquérir.

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Les obligations : l’essentiel en 150 mots

  • Les obligations sont des instruments financiers permettant de diversifier son portefeuille et de générer des revenus réguliers.
  • Elles sont émises par des entreprises, des collectivités ou des États pour financer leurs projets.
  • Contrairement aux actions, les obligations font de l'investisseur un créancier, non un propriétaire.
  • Il existe différents types d'obligations : d'État, d'entreprise, à taux fixe, à taux variable, indexées sur l'inflation, à coupon zéro, et convertibles en actions.
  • Les obligations offrent une rémunération sous forme de coupons, qui peuvent être fixes, variables ou indexés.
  • À l'échéance, l'investisseur récupère son capital initial, sauf en cas de faillite de l'émetteur.
  • Les risques associés aux obligations incluent le risque de crédit, de taux et de change.
  • Les revenus des obligations sont soumis au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU).

Pour plus de détails ou compléments, lisez l’article complet !

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Sommaire :

 

Définition et fonctionnement d’une obligation en Bourse

Qu’est-ce qu’une obligation en Bourse ?

Lorsqu’une entreprise, une collectivité ou un État souhaite financer son développement, les montants requis peuvent être trop importants pour un simple emprunt bancaire. Il leur faut donc emprunter sur les marchés financiers pour obtenir cet argent. Pour ce faire, elles mettent en place une émission obligataire.

Là où une action vous rend propriétaire d’une partie du capital de l’entreprise, une obligation fait de vous son créancier : l’entreprise vous emprunte à vous au lieu d’emprunter à une banque.

Selon la nature de l’émetteur, on peut entendre parler d’obligation d’Etat (ou « dette souveraine »), ou d’obligation d’entreprise (ou « dette corporate »).

Pendant leur durée de vie, les obligations font l’objet d’une cotation en bourse qui vous permet de les revendre avant leur échéance ou d’en acheter d’autres en cours de vie. Il en existe de nombreuses catégories aux caractéristiques très variables.

 

À lire également : Différence entre actions et obligations

 

Fonctionnement d’une obligation

Lorsque vous achetez une obligation, vous prêtez de l’argent à son émetteur en échange d’une rémunération. Comme pour tout prêt, l’emprunteur vous verse un intérêt (appelé le coupon), sur une durée fixée à l’avance pouvant aller de 5 à 30 ans (appelée la maturité).

Le coupon peut être fixe ou variable sur toute la durée de vie de l’obligation. Il peut également être « révisable », c’est-à-dire passer de « fixe » à « variable », ou l’inverse. Il peut enfin être indexé sur un indice (inflation, baril de pétrole, or, CAC, etc.…).

La rémunération versée dépend à la fois des taux d’intérêt en vigueur sur les marchés au moment de l’émission mais également du risque présenté par l’émetteur : plus le risque de non-remboursement est élevé, plus le taux d’intérêt est important.

La quasi-totalité des obligations prévoient une distribution annuelle du coupon. Néanmoins, certaines obligations prévoient une capitalisation de ces intérêts, qui sont alors versés à l’échéance en plus du capital initial. Les premières s’adressent plutôt aux personnes à la recherche de revenus complémentaires réguliers, les secondes à celles qui désirent constituer un capital dans le temps.

À l’échéance, l’obligation est remboursée en une seule fois : vous récupérez votre mise de départ, sauf bien entendu en cas de faillite de l’émetteur.

Lorsqu’une obligation est à taux fixe, les intérêts versés sont constants mais son cours sur les marchés financiers peut varier en fonction de l’évolution des taux d’intérêt.

  • Concrètement, quand les taux d’intérêt augmentent sur les marchés, les nouvelles obligations offrent des rémunérations supérieures à celles émises précédemment. Les investisseurs préfèrent alors vendre les anciennes pour acheter les nouvelles qui rapportent davantage.
  • Ce mouvement de vente a pour conséquence de faire baisser le cours des anciennes. Inversement, quand les taux d’intérêt des marchés baissent, les acheteurs seront à la recherche des obligations précédentes dont le coupon est plus rémunérateur, ce qui fait augmenter leur cours.

 

À lire également : Opération Sur Titres : définition, fonctionnement et types

 

Principaux termes utilisés

  • Le prix d’émission correspond au prix auquel vous achetez l’obligation au moment de son émission.
  • La maturité correspond à la durée de la vie d'une obligation.
  • Le taux d’intérêt est appelé le coupon.
  • Le cours de l’obligation correspond au prix auquel s’échange l’obligation sur les marchés financiers.
  • Le prix de remboursement correspond au remboursement de l’obligation à son échéance.

Fiscalité des obligations

Les revenus des obligations (soit le coupon + les plus-values en cas de revente) sont soumis au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30%. Ce taux global comprend l’impôt de 12,8 % et les prélèvements sociaux qui s’élèvent à 17,2 %.

Toutefois, comme pour les actions, il est toujours possible d’opter pour une imposition au barème progressif de l’Impôt sur le Revenu (IR) au moment de la déclaration annuelle de revenus. Cette option n’est intéressante que si vous êtes très peu ou pas imposable.

Différents types d’obligations en Bourse

Il existe différents types d’obligations qui vous permettront de choisir les plus adaptées à vos objectifs :

Les obligations d’État

Ce type d’obligations, dite « souveraines », est destiné à financer les besoins des États à moyen et long terme.

Un Etat étant généralement solvable, ces obligations sont considérées comme sûres, même si certains émetteurs peuvent présenter davantage de risques (pays émergeants ou Etat subissant des difficultés économiques et financières).

Les obligations d’entreprise

Les entreprises peuvent émettre des obligations pour se financer sur les marchés financiers.

Les rendements associés sont plus élevés que ceux offerts par les obligations d’État car le risque est plus important. Plus l’entreprise est fragile financièrement, plus le rendement proposé est élevé.

Les obligations à taux fixe

La rémunération (montant du coupon) est connue à l’avance. Elle est fixée lors de l’émission et ne change pas jusqu’à l’échéance.

Les obligations à taux variable

Le montant du coupon est défini par rapport à l’évolution d’un taux du marché (Euribor par exemple) auquel s’ajoute un taux fixe.

Les obligations indexées sur l’inflation

Il existe des obligations indexées qui visent à protéger les revenus de l’inflation. Les Etats en sont les principaux émetteurs. Le capital et les coupons versés sont indexés sur l'inflation pour en préserver le rendement réel tout au long de la maturité.

Cette protection du capital a un coût qui fait que le rendement de ces obligations à long terme ont a un rendement inférieur aux obligations classiques. Elles sont donc intéressantes en période d’inflation, mais pas en période de faible inflation.

Les obligations à coupon zéro

Ce type d’obligations ne génère pas de coupon, les intérêts sont versés en totalité à l’échéance de l’emprunt après avoir été capitalisés sur toute la durée de vie de l’obligation.

Les obligations convertibles en actions

Elles peuvent être échangées contre des actions de l’émetteur selon les modalités prévues lors de l’émission de l’obligation.

Exemple d’investissement en obligations

Une entreprise qui a besoin d’emprunter 20 millions d’euros décide d’émettre un emprunt obligataire à taux fixe pour une durée de 10 ans.

Elle divise cet emprunt en 2 000 parts de 10 000 €. Chaque obligation coûtera donc 10 000 €. Le taux d’intérêt est fixé à 4,5 %.

Le coupon est versé annuellement. Vous recevrez donc 450 € par an pendant dix ans.

Au bout des 10 ans, l’entreprise vous remboursera une dernière échéance de 450 € ainsi que vos 10 000 € de départ. Votre revenu s’élèvera ainsi à 4 500 € (450 € x 10 ans).

Pourquoi investir dans des obligations ?

Avantages des obligations

  • Les obligations sont plus sûres que les actions dans la mesure où les créanciers sont toujours prioritaires lorsqu’il faut rembourser une dette. Si l’entreprise émettrice venait à faire faillite, les détenteurs des obligations seraient donc remboursés avant les actionnaires, qui ne pourraient récupérer que ce qui reste, s’il en reste
  • En générant un revenu fixe et régulier sur une durée connue à l’avance, les obligations permettent de sécuriser ses rentrées futures, notamment par rapport aux fluctuations des actions. C’est donc un moyen de diversifier intelligemment votre portefeuille boursier
  • Les taux d’intérêts des obligations sont généralement supérieurs à ceux des livrets d’épargne. Un placement obligataire vous assurera donc un rendement supérieur pour un risque faible.

Obligations : quels sont les risques ?

Même si les obligations sont généralement considérées comme des placements sûrs, le prix des obligations cotées fluctue selon différents facteurs qui peuvent provoquer une baisse :

Un risque de crédit

Il Un risque de crédit survient lorsque l’émetteur de l’obligation (entreprise ou État) se retrouve dans l’incapacité de rembourser sa dette.

Avant d’investir, vous pouvez vous renseigner sur la solvabilité de l’émetteur et le niveau de risque qui lui est associé en regardant la note fournie par les agences de notation.

Ces notations vont de AAA (triple A), qualité de crédit la plus élevée, à D, défaut de paiement constaté ou imminent.

Un risque de taux

Il Un risque de taux est lié à la volatilité des taux d’intérêt sur les marchés.

Si les taux d’intérêt augmentent après l’achat de l’obligation, sa valeur sur le marché peut baisser, car les nouvelles obligations offriront des rendements plus élevés. Plus la durée d’investissement est longue, plus l’obligation est exposée à ce risque.

Un risque de change

Ce Un risque de change concerne les obligations libellées en devises étrangères.

Lorsque le taux de change entre les devises évolue négativement, cela va affecter le montant final de l’investissement. Par exemple, une obligation en dollars va perdre de sa valeur si le dollar baisse par rapport à l’euro.

Comment investir dans des obligations en Bourse ?

Investir en direct

Comme pour les actions, les obligations s’achètent soit lors de leur émission sur le marché primaire, soit directement sur les marchés boursiers (marché secondaire).

Dans les deux 2 cas, l’achat s’effectue auprès d’un intermédiaire agréé (banquier, conseiller financier, courtier en ligne, etc.) dès que vous possédez un compte-titres ordinaire (CTO) dans lequel loger vos actifs financiers (il peut également s’agir d’actions).

Pour vous constituer un portefeuille diversifié et limiter les risques, choisissez des obligations issues de différentes entreprises ou Etats, de secteurs d’activités ou de zones géographiques diversifiés, ou encore de niveau de risques différents.

NB : Attention, les obligations ne peuvent pas être intégrées dans un PEA ou sur une assurance vie. Vous pouvez cependant en intégrer par le biais de fonds ou d’ETF obligataires sous réserve qu’ils respectent les contraintes d’éligibilité. Seul l’enveloppe CTO permet de recueillir les obligations acquises directement sur les marchés financiers.

Avec des ETF

Les ETF, aussi appelés « trackers » sont des fonds indiciels cotés en bourse. (pour en savoir plus)

Un ETF obligataire est composé d’une sélection d’obligations qui réplique fidèlement un indice à la hausse ou à la baisse. Ces fonds très accessibles et diversifiés nécessitent un investissement de départ moins élevé, proposent des frais plus faibles et offrent une meilleure liquidité.

Avec des OPCVM

Les Oorganismes de Pplacement Ccollectif en Vvaleurs Mmobilières (OPCVM) sont un autre moyen d’acquérir des obligations.

Il peut s’agir de Sicav ou de Ffonds Ccommun de Pplacement (FCP) dont la majorité du portefeuille est investie en obligations d’Etats ou d’entreprises.

En proposant un placement réparti sur de multiples valeurs, vous profitez d’une diversification immédiate et réduisez le risque lié à la détention d’une valeur unique. La grande variété d’OPCVM vous permet de sélectionner les niveaux de risques les plus en adéquation avec votre profil d’investisseur.

 

Vous aimerez aussi : Définir son profil d’investisseur

 

Les frais des obligations

L’achat et la vente d’obligations génèrent des frais qui sont fixés par les intermédiaires financiers auxquels vous vous adressez.

Les frais facturés ne seront pas les mêmes en fonction de votre mode d'investissement : en direct à partir d'un compte-titres (frais de courtage ou, droits de garde) ou via des fonds et sicav SICAV (frais d'entrée et de sortie, frais de gestion, etc.).

Renseignez-vous auprès de votre intermédiaire financier pour connaître le détail des frais.

Lire le cours d’une obligation en Bourse

Pour lire les informations concernant la cotation des obligations, il faut regarder plusieurs colonnes qui ont toutes leur importance :

  • Colonne Emetteur : La la société, la province (ou l'État) ou le pays qui émet l'obligation.
  • Colonne Coupon : c’est le taux d'intérêt nominal fixé par l'émetteur que reçoit le prêteur.
  • Colonne Échéance : date à laquelle l'emprunteur remboursera le capital aux investisseurs. Souvent, seuls les deux derniers chiffres de l'année sont indiqués : 25 correspond à 2025, 09 correspond à 2009, etc.
  • Colonne Cours acheteur : c’est le prix qu'une personne est prête à payer pour souscrire l'obligation. Le cours acheteur est en quelque sorte, un pourcentage : une obligation présentant un cours acheteur de 93 se négocie à 93 % de sa valeur nominale.
  • Colonne Rendement : c’est le revenu annuel qui sera versé jusqu'à l'échéance de l'obligation.

Dans quelles obligations investir ?

Il n’y a pas de réponse toute faite car cela dépend avant tout de votre horizon de placement, du niveau de risque que vous êtes prêt à accepter et des objectifs de gains que vous poursuivez.

Il y a néanmoins quelques points à prendre en compte pour sécuriser votre investissement. :

N’investissez pas l’épargne dont vous pouvez avoir besoin à court terme

Les obligations sont pour la plupart des investissements de long terme. Pour éviter de devoir vendre vos obligations avant l’échéance et risquer ainsi de perdre de l’argent, sélectionnez les obligations dont la durée de vie est en adéquation avec votre horizon de placement.

Choisissez les obligations qui correspondent à vos objectifs d’investissement

Vous préférez recevoir des revenus complémentaires réguliers tout au long de la période ou faire fructifier un capital que vous récupérez à la fin ? Voulez-vous vous prémunir de certains risques de taux ?

Chaque type d’obligation présente des avantages et des inconvénients. Il est donc important de bien évaluer ces points avant de sélectionner vos obligations : à taux fixe ou à taux variable ? Iindexée sur l’inflation ? A coupon zéro ?

Examinez les différents risques en présence

Les risques directement liés aux obligations (défaillance de l’émetteur, variation de taux, problème de liquidité, etc.) ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux liés au mode d’investissement (en direct ou via des fonds). Leur examen vous permettra de sélectionner les titres les plus en adéquation avec votre niveau de tolérance.

Gardez également à l’esprit que plus le taux d’intérêt de l’obligation choisie est élevé à l’émission, plus cette dernière présente un risque élevé.

Informez-vous avant d’investir grâce à la documentation commerciale liée à l’émission

Consultez la « note de crédit » de l’émetteur, qui est l’avis délivré par une agence de notation évaluant le niveau de risque.

Par ailleurs, les émissions d’obligations entrent dans le cadre de l’offre au public de titres financiers. Elles font de ce fait l’objet d’un prospectus soumis au visa de l’AMF que vous pouvez retrouver sur le site internet de l’émetteur et sur le site de l’AMF.

Enfin, si vous choisissez d’investir dans un fonds ou une sicav, consultez le document d’informations clés (DIC) du fonds, qui présente notamment sa stratégie d’investissement et son niveau de risque.

Vendre des obligations en Bourse

Vous pouvez souhaiter vendre vos obligations pour réallouer votre capital sur des titres plus rémunérateurs ou tout simplement pour récupérer votre capital initial.

Vous pouvez vendre vos obligations sur les marchés financiers avant leur échéance, en vous adressant à votre intermédiaire, à la condition de trouver un acquéreur.

Il faut savoir que toute revente d’une obligation avant son échéance peut entraîner un gain, mais également une perte en capital puisque leur cotation sur le marché financier fluctue à la hausse ou à la baisse en fonction de différents éléments.

Pour vendre vos obligations, vous devez :

  • vous rendre sur le site transactionnel de votre intermédiaire financier,
  • aller dans la rubrique « passer un ordre »,
  • sélectionner « vendre » en indiquant la quantité de titres que vous voulez céder, à quel prix, et dans quel laps de temps.

N’oubliez pas que chaque transaction va induire des frais financiers supplémentaires selon les tarifs appliqués par votre intermédiaire financier.

 

À lire également : Quels sont les frais en bourse ?

BON À SAVOIR

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© Crédit Agricole S.A. – Novembre 2025

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